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Restructuration et extension d’une villa bourgeoise de 1943 réalisée par Maurice Novarina.

Le projet est implanté dans un lotissement des années 1930 sur un terrain qui réunissait deux parcelles du découpage d’origine. Il apparaissait évident de construire un nouveau bâtiment à l’échelle de la villa conservée à l’emplacement prévu initialement dans le lotissement. La préservation de certains arbres et aménagements paysagés étaient importants pour répondre au parc thermal situé en face.

Le choix s’est porté sur l’opposition architecturale, en concertation avec l’Architecte des Bâtiments de France. Se confrontent donc une architecture bourgeoise des années 1940, finement détaillée et décorée avec une façade minérale rugueuse, et une architecture contemporaine dénuée de décorum et lisse. Cette extension, avec une façade en VEC, disparaît dans le ciel ou dans l’environnement bâti de par la réflexion du verre. Selon l’angle d’incidence se reconstruisent de nouvelles architectures avec le reflet sur la façade.